Clustech, c’est la Champions League ! On ne travaille qu’avec les meilleurs. Que ce soit côté consultants ou projets, tout passe par un processus de sélection très pointu : tests, entretiens, évaluations, références et qualifications. Nous enclenchons une opération que lorsque nous sommes intimement convaincu que la réussite est au bout. Et il ne s’agit pas là de nourrir des espérances en se tournant les pouces bien au contraire, nous développons des outils et des méthodologies que nous mettons à disposition pour être à la hauteur.
Et c’est valable à tous les niveaux : de la prospection à l’administratif. D’un côté notre équipe connaît parfaitement l’activité de consultant et le contexte des projets digitaux. De l’autre, notre technologie analyse tous les éléments décisionnels d’un deal, nous savons donc donner rapidement un GO ou NOGO pour un projet. Tout est minutieusement orchestré pour que les chefs de projet et responsables d’équipes puissent bénéficier des bons profils dans le bon timing, personne ne perd de temps. On ne passe plus des heures à scroller des pages entières de profils, sur lesquelles même les photos se ressemblent…
On fait vite mais on fait bien ! Les missions démarrent avec un bon de commande et se terminent avec un document de recette, tous deux délivrés dans les temps. La transparence est également de mise car les conditions (validation, facturation, délais de paiements) et les risques sont partagées entre tous avant l’acceptation de la mission. Contrairement à un grand classique du secteur : « on prend le deal et on verra après… », chez Clustech, le commerce n’est pas dissocié du delivery, bien au contraire ils fonctionnement ensembles ! Un deal est gagné lorsqu’il est facturé (et encaissé !) et que le client est aux anges, le bon de commande n’est qu’une étape.
Nous ne sommes ni magiciens, ni nés de la dernière pluie. Inutile donc de précisez que les missions infaisables, à des prix misérables, avec des personnes exécrables, on les détecte à des kilomètres à la ronde. Nous sommes les premiers à dire qu’il n’y a ni mauvaise mission, ni mauvais consultant, juste des problèmes d’alignements. Cependant dans certains cas, nous avons la maturité et le recul nécessaire pour éviter d’envoyer au charbon nos clients ou nos consultants et nous savons dire simplement non.
Cela peut paraître bateau, mais ce qu’on veut – et c’est sincère – c’est que tout le monde soit heureux. On ne veut pas que les entreprises soient matraquées par des intermédiaires qui se prennent des marges faramineuses. On ne veut pas non plus que les consultants se sentent lésés par des TJM indécents. Pour fonder les relations sur de bonnes bases, on a donc décidé de connecter directement les profils avec les projets et d’opter pour le juste prix. Nous négocions pour chaque mission un TJM qui tient compte de la complexité du projet, des compétences, de l’expérience et même de la concurrence.